La semaine de rentrée scolaire n'avait pas si mal commencé. Pendant les vacances quand la jeune femme avait sus que les élèves de Fuusha Gakuen aller venir dans son école, par ce qu'un incident volontaire ou non avait brulé la moitier de cette école, elle avait affiché une grimaçe digne de celle des enfants de maternelle. Quoi ? meme si Tsu' trouvé cette gueguerre stupide et puérile, elle n'en rester pas moins concerné par la situation. Déja sur le plan sportif ou elle savait très bien que si une des Flevor's se présenté au casting, elle allait etre prise a coup sur, ce qui allait engendrer quelques mauvaises disputes au sein des Lion's. De plus, et meme si elle évitait tout contact avec ces enfants de bourges, la jeune femme se verrait contrainte et forcée de partager son école et ses moindres recoints avec ses infames abrutis. De la mauvaise fois ? oui, mais elle était justifé. Allez vous faire insulter de " BAKA " a chaque fois que vous croisez un de ces gosses de riche et vous verez si vous les apprécierez ... De plus avec les nombreuses querelles qu'il y avait eu entre ses deux écoles, l'année ne risquait pas d'etre très calme.
Bref nous nous égarons. Pendant cette semaine, Tsu' ne s'était concentrée que sur ses entrainements et le casting qu'elle proposer aux filles de l'école pour entrée dans l'équipe féminine de basket. Le soir elle s'occupé de son grand père, la journée après les cours elle faisait les courses de la semaine, et bien sur après tout ça elle s'occupé de ses devoirs scolaires ... Ahhh une rythme fou pour une simple adolescente qui ne demandé rien à personne. Tsu' n'était pas a plaindre, elle avait une grande maison, suffisamment d'argent pour nourris deux personnes, un grand père adorable ect ... mais quelques chose lui manqué. Une vie d'adolescente. Depuis qu'elle avait emmenagé chez son grand père, la jeune femme n'avait pus les loisir d'avant ... Elle se conduisait comme une femme au foyer alors qu'elle n'était encore que très jeune. Parfois sa lui arriver de pensée à retourner chez son père et retrouver une vie normale, mais l'idée de laisser son grand père seul chez lui comme avant, il en était hors de question.
C'est en rentrant chez elle, un vendredi soir après les cours, les bras chargés de sacs de course qu'elle pénétra dans la vieille batisse auparavant familiale. Comme à son habitude, elle cria dans la maison pour faire entendre à son grand père qu'elle était revenus ... Ce dernier endormit sur le canapé, ne lui répondit pas. La jeune femme passa devant lui et souria largement quand elle le vit dormir la bouche ouverte en train de ronfler comme un fort sonné. Tsurara pénétra alors dans la cuisine qui donné au salon, et commença a ranger les courses. Puis elle sortit un grand verre de lait frais, deux cookies fait d'hier après midi et sortit le pillulier de son grand père pour lui donner ses médicaments. Elle posa le tout sur un plateau et alla lui porter sur la table basse du salon. En entendant sa petite fille le reveillé, le grand père ouvrit les yeux, souria, posa sa main chaude sur le visage de la jeune fille et lui tapota doucement la joue ...
Déja rentrée Ra' !!!
Ra ? un diminutif que son grand père lui avait donner. D'ordinaire on l'appeler Tsu' mais lui préféré Ra' comme le dieu égyptiens ... Ba oui il la comparé t'elle une déesse qui prenait soin de lui. La jeune femme s'asseya deux minutes a ses cotés et soupira longuement.
Dit moi mon petit, tu as eu une longue journée ? tu ma l'air épuisé tu ne t'est pas battu au moins !
La jeune femme s'étalla sur le dossier du canapé, et ouvrit largement ses yeux avant de dire longuement.
Hai !!! Les professeurs m'ont achevé ... si tu savais le genre d'annerie qui nous apprennent et qui nous serviront à rien plus tard c'est affolant. Ils m'épuisent j'en peux plus.
Sur ces belles paroles, le veillard pouffa de rire comme à son habitude. Il se tourna vers l'adolescente et dit tout en rigolant.
Ma pauvre petite fille, tu sais tu apprendra encore beaucoup de chose inutile dans ta vie ... et pour changer si tu sortais ce soir hein ? sa te changerais les idées ne ?
La jeune femme soupira puis elle se redressa et dit ...
Iié hors de queston Jiji, je reste avec toi ... on se ferra un bon film ou bien un majong qu'est ce que tu en dis.
L'ancien se leva, et prit une mine grave, et triste a la fois. Il alla se poser devant la fenetre qui donné dans la rue, et y vit un couple de jeune qui s'amuser. Il secoua la tete de droirte à gauche et dit alors.
Tu sais ma fille, tu n'as qu'une jeunesse. Vis la à fond. Et puis pourquoi tu ne sors pas avec se jeune garçon là, le jeune Iwase, il m'a l'air bien. Tu est trop jeune pour passer tes vendredi et samedi soir avec ton vieux grand père. Sors donc fille, et amuse toi, moi je suis vieux il me reste plus beaucoup de temps à vivre. Et puis je me sent fatiguer le majong c'est trop pour moi maintenant. Vas fille et sors t'amuser.
Tsu' les bras croiser sur ses genoux se leva et alla pret de son grand père, et comme lui jetta un oeil dehors. Elle souria en voyant ce petit couple en fasse d'elle, et meme si elle ne le disait pas, elle les enviés. Puis elle regarda son grand père et dit.
Oh tu sais moi et les sortit ça fait pas bon ménage, et puis cet Iwase ne m'interesse pas tu le sais bien ... je te l'est dit maint et mainte fois ne !!! Et puis si tu compte te laisser mourir sous peu autant que je profite de toi ne ?
C'était franc, et beaucoup aurais pus se vexer, mais tout les deux avaient le meme tempéramment et le meme franc parlé ... De plus ne pas macher ses mots avec le vieillard c'était se qu'il fallait alors. Ojisan ( grand père ) regarda sa petite fille dans les yeux. Il posa sa main sur la tete de la jeune nippone et dit alors.
Ce qui me rendrait le plus heureux ma fille, c'est que tu sorte un peu ... Il est temps que tu pense à t'amuser. Sort, rencontre des gens et fait ta vie. Une vie ou je ne prendrais plus autant de place, une vie comme tu as mené 6 mois en arrière avec cet Izumi. C'est un ordre Yoshida-san.
finit-il par dire a sa petite fille avec un petit sourire malicieux. Tsu' soupira et eu le meme sourire de malice que son grand père. Mais elle nut pas le temps de dire quoi que ce soir, que ce dernier la poussa jusque devant les escaliers et lui dit.
Je veux que tu sois la plus rayonnante se soir. Epatte moi !
La nippone se résigna. Après tout, le viel homme avait raison, elle n'avait qu'une jeuness et il fallait qu'elle en profite. Tsu' monta dans sa chambre posa ses affaires et alla prendre un bon bain bien chaud. Puis quand elle en sortit elle vit qu'elle avait passer 2 bonne heures dans la salle de bain. Elle se secha les cheveux, se les lissa, et mit son peignoire. Puis elle descendit en bas et prépara un repas pour son grand père. Puis elle remonta et fouilla pendant une heure dans son armoire avant de se résigner sur une jupe en jean qui lui arrivait a la mis cuisse, une top décolleté noir et une paire de ballerine confortable et pailleté ... Puis elle se maquilla légèrement (eyeliner, mascara, crayon noir et un peu de gloss transparent). Comme a son habitude elle lacha ses cheuveux et ajouta un collier simple mais a qui elle tenait énormément. C'était celui de sa grand père dont elle hérita le jour de sa mort, une simple feuille en argent qui vallait beaucoup à l'époque et que lui avait offert grand père un jour de St Valentin. Depuis sa mort, Tsu' ne le met que pour de rare occassion et ce soir c'était le cas.
La nippone descendit les marches d'escaliers vetus en plus de ses vetements de soirée,d'une veste noir et d'un sac à main. Elle embrassa son grand père qui la complimenta, et elle sortit
Digne de ta grand mère ... Oh Mei, elle te ressemble beaucoup, belle à en faire pallir,gracieuse et ... si pure
dit-il avant de ne pus pouvoir l'apercevoir.
Pendant que la vieillard manger son repas et alla se coucher, Tsu' elle était dans le métro et attendit d'arriver en ville. Une fois ceci fait, elle appela une amie qui lui dit qu'elle allait la rejoindre devant la fontaine sur la place principale. Tsu' patienta 1 heure dehors avant que cette dernière arriva, habillé t'elle une mannequin ... Cette fille avait certains moyen mais avait "séduite" Tsu' par sa conduite et son naturelle. La copine en question Ling, l'emmena dans la boite la plus branché de la ville le " Soma Club " tenus par un fils de bourgeois aujourd'hui à Fujito Gakuen. Les deux jeunes femmes pénétrèrent sans aucune difficulté et a peine arriver qu'elle se trémoussèrent sur la piste entouré par de beau garçons. Après une heure de danse tonique, Tsu' alla se poser au bar et commenda un coca cola. Ba oui c'est qu'elle devait etre sage si elle voulait rentrée chez elle. Puis pendant qu'elle siroté sa boisson, elle regardé son amie danser telle une séductrice née, appatant tout les garçons de la boite avec son déhanché. Tsu' en souriait bien sur, mais ce soir elle n'avait pas tellement le coeur à s'amuser. La jeune femme repensé aux paroles de son grand père, et quelques part cela l'inquieté et la terrifier. Elle resta donc sur son tabouret les yeux plongé avec intention sur son index qui fesait le tour du rebord du verre.